Ebook Télécharger Croix et calvaires : Chefs-d'oeuvre de l'art populaire, by Christophe Lefébure

December 29, 2018 tishacampbellnude.blogspot.com 0 Comments

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Croix et calvaires : Chefs-d'oeuvre de l'art populaire, by Christophe Lefébure

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Croix et calvaires : Chefs-d'oeuvre de l'art populaire, by Christophe Lefébure

Détails sur le produit

Relié: 160 pages

Editeur : Flammarion (24 mars 2004)

Collection : Patrimoine

Langue : Français

ISBN-10: 2080112856

ISBN-13: 978-2080112859

Dimensions du produit:

28,9 x 22,8 x 1,9 cm

Moyenne des commentaires client :

4.5 étoiles sur 5

3 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

492.112 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Ah que l'on aimerait photographier comme l'auteur, Christophe Lefébure! Les photographies sont belles, laissant aller l'imagination, émouvantes, techniquement superbes, parfaitement reproduites...De plus, il sait écrire, et sait citer les auteurs tels Maupassant, Flaubert, Loti, Zola, Balzac (j'en oublie)au moment opportun.On l'aura compris, ce n'est pas un livre d'érudition, mais d'invitation au voyage.L'historien froncera le nez face à des clichés mal venus sur la dévotion laïque au Moyen Age, ou sur la confusion croix de Malte -ordre des templiers: l'auteur n'est PAS historien mais plutôt artiste.Précieux car bien des œuvres présentées -une croix de carrefour sept fois centenaire a autant de valeur qu'un encensoir, que diable!- n'ont pas figure à traverser encore beaucoup de siècles. Pour les datations proposées, mieux vaut presser le pas, et même partir en courant: en matière d'art populaire, rien n'est plus délicat que la datation par le style.Ce n'est pas un livre d'histoire de l'art non plus, la rigueur scientifique de cette science humaine n'y étant pas.Beau livre à offrir ou à s'offrir.

Très peu d'ouvrage sur ce sujet. Beau livre, bien présenté, bien conçu. Il contient des textes, des photos et la localisation des croix ou calvaires avec l'histoire qui y est associée. Belle découverte pour tout public

Dix ans d’âge c’est déjà presque ancien pour des croix et des calvaires dont certains et certaines sont millénaires. Ce qui m’a attiré et immédiatement interpelé c’est de voir de l’art populaire dans ces croix et calvaires qui furent certes populaires mais certainement pas d’art populaire. Il s’agit d’un art sacré le plus souvent appuyé sur les écoles de sculpture sacrée des Bénédictins, qu’ils soient clunisiens ou casadéens. Il manque cet ancrage dans la christianisation de l’Europe, et donc la réforme du 9ème siècle qui va amener le féodalisme, et le mouvement de la Paix de Dieu de la fin du 10ème et du 11ème siècle qui marque le triomphe du féodalisme et la nécessité des croisades. En miroir à cela l’auteur réduit à trois fois rien l’ambition de déchristianisation de la Révolution Française (« Des symboles chrétiens faisons table rase. » page 35) Il ne cite même pas l’obligation de détruire tous les clochers qui étaient plus élevés que les beffrois. Cela a donné dans une région comme l’Auvergne un mouvement destructif systématique suivi ensuite après Napoléon d’un mouvement de reconstruction tout aussi systématique. Cette dynamique n’est pas mentionnée.La croix est un symbole très ancien et qui plus est transculturel au niveau mondial. La croix chrétienne n’est donc qu’une reprise d’un symbole spirituel et matériel multimillénaire. Mais le livre s’interdit idéologiquement de trouver ces racines quand il dit avec des termes d’un niveau de mépris inacceptable pour les pratiques religieuses ante-chrétiennes : « Les peuples païens vouaient à la nature un culte idolâtre » (page 98) Et ce n’est pas une citation comme celle de Viollet-le-Duc page 90 qui posent les croix comme ne remontant pas au-delà de la fin du 11ème siècle. C’est vrai que Viollet-le-Duc ignorait tellement les choses de l’Auvergne qu’il fit agrandir la cathédrale de Clermont d’une nef néo-gothique qui a tué l’acoustique de l’ancienne cathédrale, moitié moins longue en lui imposant un retour de 7 secondes. Et tout cela parce que Viollet-le-Duc considérait qu’une cathédrale devait avoir deux flèches qu’il ajouta donc en façade ouest de sa nef supplétive.Mais ces références sont non critiquées alors même que la datation est illusoire. Elle ne concerne que les croix recensées et donc qui ont survécu. De plus elle enferme les croix dans le concept de croix de chemin, croix extérieures à l’église elle-même. Ainsi l’auteur ne mentionne pas la croix que pose même les églises ou chapelles romanes les plus anciennes au sol. La nef est le fût de la croix, le transept, même s’il n’est pas en forme de barre transversale est le seuil de la montée vers la lumière divine qui se trouve dans le chœur au-delà même de cette ligne transversale du transept. La croix est un concept bien plus vaste que sa réalisation en croix de chemin ou de pèlerinage, voire en calvaires. Et pourtant l’auteur signale l’existence de croix plus ancienne, beaucoup plus anciennes même. Mais il n’atteint pas le concept de la croix dans la vision chrétienne. A quand remonte le signe de croix, cette mise en quatre (de la crucifixion) de la Trinité chrétienne ?Plus grave encore il ne voit pas, ni ne mentionne l’autre versant de la sculpture qu’on dira romane : les Vierges romanes assises portant l’enfant. Cela lui interdit de voir que l’on ne peut pas séparer la sculpture de ces croix de l’autre et troisième sculpture des églises, à savoir les chapiteaux, particulièrement les chapiteaux historiés. Nombreux sont ceux qui donnent à voir la trajectoire complète du Christ, de la nativité à l’ascension, ce que j’appelle les chapiteaux christiques. De la même façon il ne voit pas, ni ne mentionne, les plans des églises romanes qui sont fondées sur un chiffre absolument signifiant comme trois, la Trinité, quatre, la crucifixion, six, la sagesse du nombre Salomon, sept, la Semaine Sainte qui rejoint la semaine de la Genèse, neuf, l’heure de la mort de Jésus et l’apocalypse. ETC. Les croix de chemin, de pèlerinage ou autres du Moyen Âge se coulent dans une symbolique beaucoup plus vaste.Il y a dans ce livre d’assez nombreuses allusions à l’héritage celtique et aux origines celtiques de certaines de ces croix. Ce qu’il ne voit pas c’est que l’héritage celtique est systématiquement christianisé, et ce dès le cinquième siècle. Ainsi la cathédrale du Puy est construite sur un « mont » qui était le lieu d’un ancien culte celte centré sur une pierre noire volcanique dite pierre des fièvres. Le site est récupéré. Qui plus est la pierre des fièvres a été christianisée par une légende d’une femme qui y aurait vu l’apparition de la Vierge, et cette pierre sert de linteau à une porte latérale de la cathédrale. Il ne voit pas que pour les Celtes l’important n’est pas la pierre dressée, en dolmen ou en menhir mais le lieu précis où ces pierres sont dressées et la disposition de ces pierres en cromlech par exemple : nombre et disposition circulaire. On pourrait croire que Stonehenge a été digéré aujourd’hui. Mais apparemment non.Les églises d’Auvergne récupère systématiquement les lieux de culte gallo-romains et celtes, comme la chapelle de Saint Michel au Puy construite sur le site même du temple de Mercure gallo-romain. Ce n’est pas la destruction de la chapelle romane en haut du Puy de Dôme construite sur le site même du temple de Mercure qui a supprimé cet héritage ante-chrétien christianisé par toute une symbolique chrétienne surimposée sur l’ancienne symbolique celte ou gallo-romaine. Ce ne sont alors que wuivres et sheela-na-gigs, serpents et autres sauriens, symboles d’eau et de tellurisme, sans parler des Boaz et Jachin qui reprennent les figures du druide et de son barde, du maître alchimiste et de son apprenti, etc.Mais alors quelle est la valeur de ces croix et calvaires en temps anciens ?En premier lieu des valeurs qu’on dira simples et utilitaires : l’auteur les mentionne presque toutes. Ensuite la fonction directionnelle pour les pèlerinages en association, pour le pèlerinage de Saint Jacques De Compostelle lancé à la fin du 10ème siècle par un évêque du Puy par exemple, avec les chapelles et églises de Saint Martin la plupart du temps proches d’une fontaine elle-aussi de Saint Martin dont le souvenir souvent est en train de disparaître car le remembrement agricole depuis la guerre de 39-45 en a fait disparaître un bon nombre. Ces fontaines avaient la plus souvent des dimensions fondées sur le nombre d’or, fondamental en géométrie grecque et en architecture bénédictine romane, et elles étaient bien sûr construites sur une source naturelle qui souvent avait été le lieu d’un culte celte. Il faudrait ajouter en plus les chapelles de Saint Roch, essentielles elles-aussi pour les pèlerinages. Saint Roch et Saint Martin sont les grands patrons de ces déplacements religieux et rituels.Par contre le livre est d’une richesse extraordinaire pour les images bien que plusieurs fois il ne donne pas à voir le verso de la croix. Au recto c’est un Christ crucifié mais souvent au verso c’est une vierge portant l’enfant. Il n’insiste pas sur ce fait, qu’il mentionne cependant sans vraiment donner d’illustration alors que certaines images laissent entrevoir la robe de la dite vierge au verso de la croix comme page 26, page 116 ou page 118. Cette association est typique d’un concept chrétien fondamental : l’alpha et l’oméga, ici du Christ lui-même, la naissance et la mort et c’est dans cet alpha et cet oméga que se trouve la promesse de la résurrection et de l’apocalypse, c'est-à -dire du Jugement Dernier et de la Jérusalem messianique. Cela l’empêche de comprendre le calvaire page 136 avec Adam et Eve, l’alpha, au pied du fût de ce calvaire, le Christ en croix au sommet du calvaire, l’oméga, et de l’un à l’autre un serpent ondulant qui est selon le sens où on veut le voir, soit la descente dans les limbes du Christ en croix pour libérer Adam et Eve, soit la montée du pêcher originel d’Adam et Eve régénéré par le sacrifice du Christ en croix. Cette logique de l’alpha et de l’oméga est parfaitement exprimée par Saint Jean dans son apocalypse (1:8) : « "Je suis l'alpha et l'oméga", dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant. »Un livre utile par son iconographie mais plutôt superficiel par ses commentaires, comme si en nos temps laïques nous ne devrions plus comprendre ces symboliques.Dr Jacques COULARDEAU

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